Aurore—Le mystère de l'enfant martyre

[ Télesphore Gagnon, Le Soleil (Québec), ]

OCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> Aurore—Le mystère de l'enfant martyre

Télesphore Gagnon

Né à Sainte-Philomène de Fortierville le 11 juillet 1883. Cultivateur, charpentier, menuisier, forgeron, bûcheron. Il épouse en première noces Marie-Anne Caron en 1906. De cette union naissent Marie-Jeanne, Aurore, Georges-Étienne et Joseph. Sa femme meurt le 23 janvier 1918 et le 1er février de la même année, il épouse en secondes noces Marie-Anne Houde, une veuve qui habite chez lui depuis deux ans. Le 29 avril 1920, il est condamné à la prison à vie, au pénitencier Saint-Vincent-de-Paul pour l’homicide involontaire de sa fille, Aurore. Il est libéré en 1925 pour bonne conduite. Certaines thèses évoquent également qu’il est atteint d’une tumeur à la gorge et on présume qu’il lui reste peu de temps à vivre. Il retourne vivre à Sainte-Philomène de Fortierville, où il se marie une troisième fois, le 8 janvier 1938, avec Marie-Laure Habel. Ils ont un enfant qui décède très jeune. Télesphore Gagnon meurt le 30 août 1961, âgé de 78 ans.

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