L'époque des diligences dans le comté d’Oxford

[ Western Hotel, Lucan, Robert (Bob) Donnelly operated the Western Hotel in the early 1900s, approximately when this photograph was taken.    By Permission of Ray Fazakas, Unknown, Private Collection of Ray Fazakas  ]Autrefois, le propriétaire d’une diligence était considéré comme le sel de la terre, […]. En ce temps-là, la plus grande ambition d’un jeune homme était d’être conducteur de diligence, non que la rémunération était source de motivation, car ils gagnaient dix ou douze dollars par mois, mais il semble que ce style de vie excitant l’emportait sur les nombreux inconvénients.

[…] Au début, la compétition était parfois si féroce qu’ils se livraient à des guerres de tarifs : ils transportaient souvent des passagers de London à Hamilton gratuitement, les nourrissaient en route et leur offraient à boire à chaque taverne. Il était courant pour les conducteurs de diligence rivaux de se rencontrer aux stations de diligence et de se battre sauvagement; un homme à la réputation de pugiliste touchait souvent le double de la paie d’un simple conducteur pacifique, et des aptitudes pour le combat étaient reconnues comme une marque de compétence. […]

Source: W. B. Hobson, "Old Stage Coach Days in Oxford County," Papers and Records of the Ontario Historical Society XVII (1919) (1919): 33-36. Notes: Collection régionale de J. J. Talman, archives de la University of Western Ontario, papiers de Reaney, boite 27 (B1313), dossier 13.

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