LOBO.

[...] Les gars de Lobo font encore du grabuge, cette fois à l’extérieur de la maison de l’ancien Sinclair et durant la pratique de la classe de chant. Peaux de buffle, couvertures, harnais, etc. furent coupés et tailladés sans distinction et les couvertures de cheval, les fouets et les cache-cols et les capots éparpillés et détruits. Une grosse somme d’argent est offerte pour l’arrestation de ces vauriens. Les principales victimes son MM. John Woods, Charles Paul, D. McGugan, H. Moore, D. Carmichael et d’autres. C’est aussi pire qu’à Lucan.

LA PRISON TROUÉE

de Lucan continue d’attirer des foules de visiteurs. Les amis du jeune Ryan auraient, semble-t-il, attendu jusqu’à plus de trois heures, une fois que le constable Everett, jugeant que toute idée d’évasion avait été abandonnée, soit parti se reposer. Munis de pinces-monseigneur, de barres à clous et autres outils de voleurs, les « agneaux de Biddulph et de Lucan » ont fait un trou assez grand pour y faire entrer une brouette, et en très peu de temps Tom Ryan était un homme libre. Le prisonnier aurait été arrêté pour possession d’un couteau Bowie. [...]

Source: Unknown, "Lobo," London Advertiser, janvier 10, 1878.

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