small flourish

Les vols commis pendant l’incendie

Profitant de la confusion et de la noirceur, des gens venus des faubourgs en profitent pour s’introduire dans des maisons ou ramassent des objets abandonnés dans les rues. La moindre épingle ou boucle de chaussure, même brisée, est objet de convoitise, car les pièces de métal peuvent être échangées, vendues, fondues.

Les autorités civiles demanderont l’aide du clergé pour lire en chaire une lettre monitoire enjoignant la population montréalaise de dénoncer les coupables. Ceux qui seraient trouvés en possession de biens volés feront face à la justice de Dieu en plus de celle des hommes.

Plusieurs personnes seront dénoncées et emprisonnées, la plupart de pauvres gens. Les chercheurs qui connaissent les populations marginales de Montréal y reconnaîtront quelques habitués de la petite criminalité.

Chapitres de livres

Documents de Cour

Documents gouvernementaux

Autres